Quatrième de couverture :
Mathilde et Thibault ne se connaissent pas. Au coeur d’une ville sans cesse en mouvement, ils ne sont que deux silhouettes parmi des millions. Deux silhouettes qui pourraient se rencontrer, se percuter, ou seulement se croiser. Un jour de mai. Les heures souterraines, qui fut finaliste pour le prix Goncourt, est un roman vibrant sur les violences invisibles d’un monde privé de douceur, où l’on risque de se perdre, sans aucun bruit.
Notre avis :
Tout au long du roman, nous suivons ce qui est le quotidien de Mathilde et Thibault, mais en une seule journée, celle du 20 mai, décrite comme étant une date importante surtout pour Mathilde. L’écriture fluide et le récit minutieux de l’auteur nous plongent dans une situation oppressante qui, selon nous, ne laisse pas le lecteur indifférent. Malheureusement, l’histoire de ces deux personnages est bien réelle et cela nous permet de réfléchir sur notre propre vie personnelle et professionnelle.
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